mercredi 6 mars 2013

Vide



Un grand vide
Alors que je voudrais parler
De chaînes brisées
De servitude dénouée
De lumière après la nuit.

Le mur ne serait-il pas encore assez haut?
Le joug pas assez lourd?
La solitude pas assez profonde?
Ou ne vois-je simplement pas que tu es là,
Que tu souffres, que tu pleures, que tu meurs,
sous mes yeux, avec moi?

2 commentaires:

Mathilde a dit…

oh la la dois je m'inquiéter ? 1 mois et demi plus tard ...

kat a dit…

Haha Mathilde! Il me semble qu'on s'est parlé depuis, non? Non mais, ça reflétait un instant t, ou tant d'autres, que ce soit le mien ou celui de n'importe qui.

Tiens, je vois que j'ai dû effacer le commentaire d'Estelle sans le vouloir...