Sujet futile mais combien de femmes n'ont pas déjà eu ce genre de problème...
Journée de la Saint Valentin hier, donc en bonne petite femme je me suis dit que c'était l'occasion de me mettre sur mon trente-et-un, ou du moins d'essayer! Après la grossesse, j'arrive enfin à porter des habits normaux de nouveau, mais pas tout ce qui est dans mon armoire me va, petit bidon oblige.
Après quelques temps de recherches, j'élimine la petite robe, impossible d'allaiter là-dedans, et je trouve donc une petite jupe (d'été, mais bon, je mettrai des bas) et une chemise (il faut trouver un haut pratique pour la raison susmentionnée). Bon. Ce n'est pas la tenue de rêve, mais c'est déjà ça. De toute manière, bébé risque de salir ma chemise avant la fin de la journée...
Maintenant, trouvons des bas! C'est là que ma matinée se gâte: les dim ups ne collent pas, ce qui est rageant quand on pense que c'est 15francs la paire et que ça ne marche pas. Bon, ne paniquons pas et appliquons le système D. J'humidifie donc les bords de l'élastique et enfile les bas, ça tient plus ou moins, ouf. Sauf que... Quelques minutes plus tard, je remarque qu' un des bas a filé sur toute la longueur! Rageant, rageant, rageant! Bon ben tant pis, il fait chaud à la maison... (N'empêche que je ne veux pas entendre de commentaires sur les collants la prochaine fois que j'en mettrai, c'est mois sexy d'accord, mais au moins ça tient!)
Je mets mes lentilles de contact, un petit coup de maquillage, ce n'est pas grand-chose mais ça faisait longtemps... Et le tour est joué!
L'homme a trouvé sa petite femme très belle hier soir, merci! :)
vendredi 15 février 2008
jeudi 7 février 2008
Fumée...
Malgré le fait que le pourcentage de fumeurs est bas en Suisse (20% "seulement"), la Suisse fait partie des mauvais élèves dans la lutte anti-tabac selon l'OMS: les taxes prélevées par la confédération sont parmi les plus basses.
Aujourd'hui, j'ai bu un verre dans un café normal (entendez par là: PAS non fumeur) pour la première fois depuis la naissance de mon fils. L'endroit n'était pas particulièrement enfumé ni très fréquenté (et la personne qui m'accompagnait n'a pas fumé près de nous - merci!). J'ai tout de même été frappée par l'odeur de cigarette froide que je sentais sur moi en ressortant du café. Et sur les habits de mon bébé. Beurk. Comme quoi, il suffit de peu de cigarettes pour laisser une odeur...
Je n'en apprécie que plus les endroits non fumeurs, même si je n'en connais pas encore assez à Genève. Outre le Starbucks, fréquenté sur le chemin du retour du gynécologue pendant ma grossesse (mais s'y installer avec bébé et poussette? déjà que c'est super serré en temps normal...), il y a Les Recyclables, pas trop loin de chez moi (dangereux parce que contenant une librairie seconde main - même si les livres n'y sont pas chers, ON N'A PAS LA PLACE, donc je dois me retenir), et dans notre quartier, le CALM (au coin de la rue, sympa mais serré, sans parler des prix) et le Wolfisberg, que nous fréquentons avec fidélité. Non seulement c'est non fumeur, mais en plus c'est spacieux, il y a une place de jeux intérieure (bon, bon, ce n'est pas pour nous encore) et on y croise plein de familles ou de mamans avec poussettes. Pas de problème donc si le petit gars grinche un peu, personne ne nous jette de regard désapprobateur. Pas de malaise non plus si, une fois que papa et maman ont fini de manger, c'est petit bonhomme qui doit être nourri. En plus de ça, les serveurs sont très sympa, on y mange super bien, la présentation est très soignée et les pâtisseries délicieuses...
Dans ces conditions-là, c'est un vrai plaisir de sortir avec bébé (en plus, ça m'évite de faire la cuisine alors que je suis fatiguée) - et de profiter du tête à tête avec le papa pendant que le petit fait la sieste dans son landau!
Le 24 février nous votons sur l'interdiction de fumer dans les lieux publics; pour ma part, je n'hésite pas une seconde - désolée pour mes amis fumeurs. (Et non, je n'hésiterais pas non plus si je n'avais pas de bébé. C'est bien possible de se retenir de fumer dans un avion ou dans un train, pourquoi pas au resto? Oui, je sais, la petite clope avant le repas, après le repas, avec le café... Mais essayez une fois de déguster un bon repas sans corrompre vos papilles gustatives avec la cigarette, je suis sûre que vous (re)découvrirez des goûts fort sympathiques!)
Pour ceux que ça intéresse, voici une liste d'endroits non fumeur: http://www.smokefreeplaces.net
Aujourd'hui, j'ai bu un verre dans un café normal (entendez par là: PAS non fumeur) pour la première fois depuis la naissance de mon fils. L'endroit n'était pas particulièrement enfumé ni très fréquenté (et la personne qui m'accompagnait n'a pas fumé près de nous - merci!). J'ai tout de même été frappée par l'odeur de cigarette froide que je sentais sur moi en ressortant du café. Et sur les habits de mon bébé. Beurk. Comme quoi, il suffit de peu de cigarettes pour laisser une odeur...
Je n'en apprécie que plus les endroits non fumeurs, même si je n'en connais pas encore assez à Genève. Outre le Starbucks, fréquenté sur le chemin du retour du gynécologue pendant ma grossesse (mais s'y installer avec bébé et poussette? déjà que c'est super serré en temps normal...), il y a Les Recyclables, pas trop loin de chez moi (dangereux parce que contenant une librairie seconde main - même si les livres n'y sont pas chers, ON N'A PAS LA PLACE, donc je dois me retenir), et dans notre quartier, le CALM (au coin de la rue, sympa mais serré, sans parler des prix) et le Wolfisberg, que nous fréquentons avec fidélité. Non seulement c'est non fumeur, mais en plus c'est spacieux, il y a une place de jeux intérieure (bon, bon, ce n'est pas pour nous encore) et on y croise plein de familles ou de mamans avec poussettes. Pas de problème donc si le petit gars grinche un peu, personne ne nous jette de regard désapprobateur. Pas de malaise non plus si, une fois que papa et maman ont fini de manger, c'est petit bonhomme qui doit être nourri. En plus de ça, les serveurs sont très sympa, on y mange super bien, la présentation est très soignée et les pâtisseries délicieuses...
Dans ces conditions-là, c'est un vrai plaisir de sortir avec bébé (en plus, ça m'évite de faire la cuisine alors que je suis fatiguée) - et de profiter du tête à tête avec le papa pendant que le petit fait la sieste dans son landau!
Le 24 février nous votons sur l'interdiction de fumer dans les lieux publics; pour ma part, je n'hésite pas une seconde - désolée pour mes amis fumeurs. (Et non, je n'hésiterais pas non plus si je n'avais pas de bébé. C'est bien possible de se retenir de fumer dans un avion ou dans un train, pourquoi pas au resto? Oui, je sais, la petite clope avant le repas, après le repas, avec le café... Mais essayez une fois de déguster un bon repas sans corrompre vos papilles gustatives avec la cigarette, je suis sûre que vous (re)découvrirez des goûts fort sympathiques!)
Pour ceux que ça intéresse, voici une liste d'endroits non fumeur: http://www.smokefreeplaces.net
Rencontres
Dans mon entourage, des naissances, des maladies, des chemins de vie, des questionnements, des rencontres.
Rencontre de l'Autre, de la personne en face de moi, telle qu'elle est. N'est-ce pas là le plus important? Rencontrer les gens, vraiment. Aller plus loin que la simple tournure de phrase "Tu vas bien?" Phrase à laquelle il ne faut surtout pas répondre non, au risque de faire fuir la personne en face de soi.
Rencontre, écoute, échanges, silences, paroles de réconfort, amitié.
Prendre l'autre comme il est, avec son histoire, ses souffrances et ses joies. Sans le juger. Le rencontrer, simplement. Aimer l'être humain.
Vivre, partager un bout de chemin. Etre humain.
Rencontrer l'Autre. Jour après jour.
Rencontre de l'Autre, de la personne en face de moi, telle qu'elle est. N'est-ce pas là le plus important? Rencontrer les gens, vraiment. Aller plus loin que la simple tournure de phrase "Tu vas bien?" Phrase à laquelle il ne faut surtout pas répondre non, au risque de faire fuir la personne en face de soi.
Rencontre, écoute, échanges, silences, paroles de réconfort, amitié.
Prendre l'autre comme il est, avec son histoire, ses souffrances et ses joies. Sans le juger. Le rencontrer, simplement. Aimer l'être humain.
Vivre, partager un bout de chemin. Etre humain.
Rencontrer l'Autre. Jour après jour.
vendredi 11 janvier 2008
Nathanaël Pierre
Le voilà enfin arrivé, ce petit paquet tant attendu et qui change nos vies du tout au tout: Nathanaël Pierre est né le 2 janvier à 18h33, pesait 2950g et faisait 50cm, et voilà sa petite frimousse. Son papa a fait de meilleures photos que moi, vous pouvez les voir sur www.mi-ange.net
Prénom original, nous dit-on. Et surprenant pour certains. Prénom parfait pour un bébé parfait vous dit la maman (bon, j'admets que je suis partiale...). Ce n'est pas facile de trouver des prénoms que l'on peut prononcer sans grande peine dans des langues aussi différentes que le français et le hongrois. Ben là, le pari est réussi: la prononciation est la même! Mieux encore, nous pouvons même aller en terre germanophone sans changer quoique ce soit à la manière de l'appeler; il n'y a que les anglophones qui devront s'adapter un peu...
Nous aimions la consonance de Nathanaël, et je dois avouer que je n'ai même pas pensé aux origines et à l'étymologie du prénom (enfin, je n'ai pas cherché la signification de nathan, la fin du nom ne m'ayant pas posé de problème), faute grave de la part d'une "lettreuse", mais je mettrai ça sur le dos de la fatigue de la grossesse et des complications vécues. On ne peut pas se concentrer sur tout en même temps. Ce n'est qu'après sa naissance que j'ai réalisé la signification de son prénom. Joli, non? Voici donc une brève info sur le prénom, pour ceux que ça intéresse: http://fr.wikipedia.org/wiki/Nathana%C3%ABl
En ce qui concerne le nom de famille, c'est une autre paire de manches, grâce à l'administration suisse. Le pauvre petit loup aura de multiples identités: trois nationalités, au moins trois langues à gérer (quatre, selon le lieu de vie) et deux noms! Et oui, la Suisse n'accepte pas le choix du nom fait en France: il faudrait pour cela que la maman Suisse soit aussi Française ou alors qu'elle vive en France (auquel cas nous n'aurions pas annoncé sa naissance dans un état civil suisse et la question ne se serait même pas posée). Donc Nathanaël s'appellera Krüzsely en Suisse et Arluison partout ailleurs. Vous voulez qu'il s'appelle Arluison? Mariez-vous, nous dit-on. Cherchez l'erreur. Bon, voyons les choses du bon côté: Nathanaël pourra voyager avec son père et sa mère séparément sans que l'un de nous ait un problème à prouver que c'est notre enfant!
L'essentiel est que nous avons un fils parfait, qui chamboule nos vies et notre rythme de sommeil et dont nous sommes extrêmement fiers! Ah oui, à ceux qui nous demandent si nous sommes fiers d'avoir un fils, voici la réponse (après un moment de surprise la première fois qu'on m'a posé la question que je ne m'étais pas moi-même posée): oui, nous sommes fiers, mais pas plus que si c'était une fille. Nous sommes fiers d'avoir un bel enfant en bonne santé. Et pour la petite histoire, ce n'est que quand le médecin m'a demandé si j'avais vu ce que c'était, quelques minutes après sa naissance, que je me suis posé la question...
lundi 17 décembre 2007
A l'étroit?
Après l'assurance maladie et les voitures qui bloquent ma rue, voici le tour des appartements! Je vous fais un bref topo: trouver un appartement à Genève relève du parcours du combattant - vous voulez une petite anecdote?
Déjà, l'arnaque commence dans la manière de compter: nous vivons dans un trois pièces, ce qui veut dire en clair que nous avons deux pièces, plus une cuisine (qui dans notre cas est grande, certes). Ensuite, trouver plus grand est quasi impossible étant donné que toutes les familles cherchent plus grand. Pourquoi?
Parce que dans deux pièces (trois, pardon...),
on est un peu à l'étroit.
En voici la preuve: dans notre palais, le lit de bébé prend déjà bien de la place! Alors, les solutions? Réaménager le salon? (Pas plus grand que la chambre...) Chercher un appartement plus grand? Ah oui, quelle bonne idée! Sauf que, avouons-le, nous sommes un peu difficiles: idéalement, nous voudrions rester à Carouge (parce que Carouge, on aiiiiime), mais de manière plus réaliste, à distance acceptable du bureau de l'homme (parce que la femme, elle, ne voudrait pas qu'il rentre encore plus tard à cause de longs trajets...), nous ne voulons pas y laisser la moitié de notre salaire ou plus, nous cherchons au moins une pièce de plus mais aussi quelques mètres carrés de plus, si possible pas au rez-de-chaussée (parce que les gens qui guignent par notre fenêtre, on connaît déjà), et je rêve d'une baignoire et d'un balcon - mais bon, il ne faut pas exagérer!
Rien de plus facile! Deux fois par mois - quand tout va bien- je trouve une annonce dans nos prix et dans un périmètre acceptable (les autres critères étant secondaires) et là ça devient intéressant: le dernier appartement visité était un quatre pièce genevois donc, qui en fait n'avait que trois pièces cuisine comprise étant donné que celle-ci faisait partie du salon-entrée-salle à manger-bureau potentiel. L'appartement était chouette à part ça, dans le quartier voulu, mais juste en face d'un bar.... Comme si nous voulions ajouter des raisons à notre manque de sommeil à venir! Et comme il y a tellement d'appartements à louer à Genève, nous n'avons croisé que soixante personnes en quinze minutes de visite...
Mieux encore, l'appartement dont j'ai trouvé l'annonce mardi passé sur internet: pas dans notre quartier de prédilection, mais à même distance du bureau de Monsieur, pas cher, description sympa, visites mardi et mercredi soir. Et bien, mercredi, quand j'ai voulu prendre les coordonnées (que je n'avais pas notées mardi) pour aller visiter l'appartement, celui-ci n'était déjà plus dans la base de donnée! Comme quoi, il faut être rapide à Genève...
Et inutile de dire que si vous avez trouvé un appartement qui vous plaît, ce n'est pas terminé étant donné que sur les soixante ou cent personnes qui ont visité l'appartement, une vingtaine doivent déposer un dossier... Ah oui, et j'oubliais de préciser que généralement, les appartements sont à louer de suite ou dans deux semaines, ce qui laisse très peu de temps pour préparer un déménagement et trouver quelqu'un pour reprendre le nôtre (quoique ça, ça ne devrait pas être trop difficile vu les conditions susmentionnées).
Mais bon, ne perdons pas espoir, un jour le prince viendra... Ah non, pardon, je me trompe! Celui-là, il est déjà venu, mais il a dû quitter son château pour cela, et la princesse aussi a quitté le sien, d'où le problème de logement...
Déjà, l'arnaque commence dans la manière de compter: nous vivons dans un trois pièces, ce qui veut dire en clair que nous avons deux pièces, plus une cuisine (qui dans notre cas est grande, certes). Ensuite, trouver plus grand est quasi impossible étant donné que toutes les familles cherchent plus grand. Pourquoi?
Parce que dans deux pièces (trois, pardon...),
on est un peu à l'étroit.
En voici la preuve: dans notre palais, le lit de bébé prend déjà bien de la place! Alors, les solutions? Réaménager le salon? (Pas plus grand que la chambre...) Chercher un appartement plus grand? Ah oui, quelle bonne idée! Sauf que, avouons-le, nous sommes un peu difficiles: idéalement, nous voudrions rester à Carouge (parce que Carouge, on aiiiiime), mais de manière plus réaliste, à distance acceptable du bureau de l'homme (parce que la femme, elle, ne voudrait pas qu'il rentre encore plus tard à cause de longs trajets...), nous ne voulons pas y laisser la moitié de notre salaire ou plus, nous cherchons au moins une pièce de plus mais aussi quelques mètres carrés de plus, si possible pas au rez-de-chaussée (parce que les gens qui guignent par notre fenêtre, on connaît déjà), et je rêve d'une baignoire et d'un balcon - mais bon, il ne faut pas exagérer!
Rien de plus facile! Deux fois par mois - quand tout va bien- je trouve une annonce dans nos prix et dans un périmètre acceptable (les autres critères étant secondaires) et là ça devient intéressant: le dernier appartement visité était un quatre pièce genevois donc, qui en fait n'avait que trois pièces cuisine comprise étant donné que celle-ci faisait partie du salon-entrée-salle à manger-bureau potentiel. L'appartement était chouette à part ça, dans le quartier voulu, mais juste en face d'un bar.... Comme si nous voulions ajouter des raisons à notre manque de sommeil à venir! Et comme il y a tellement d'appartements à louer à Genève, nous n'avons croisé que soixante personnes en quinze minutes de visite...
Mieux encore, l'appartement dont j'ai trouvé l'annonce mardi passé sur internet: pas dans notre quartier de prédilection, mais à même distance du bureau de Monsieur, pas cher, description sympa, visites mardi et mercredi soir. Et bien, mercredi, quand j'ai voulu prendre les coordonnées (que je n'avais pas notées mardi) pour aller visiter l'appartement, celui-ci n'était déjà plus dans la base de donnée! Comme quoi, il faut être rapide à Genève...
Et inutile de dire que si vous avez trouvé un appartement qui vous plaît, ce n'est pas terminé étant donné que sur les soixante ou cent personnes qui ont visité l'appartement, une vingtaine doivent déposer un dossier... Ah oui, et j'oubliais de préciser que généralement, les appartements sont à louer de suite ou dans deux semaines, ce qui laisse très peu de temps pour préparer un déménagement et trouver quelqu'un pour reprendre le nôtre (quoique ça, ça ne devrait pas être trop difficile vu les conditions susmentionnées).
Mais bon, ne perdons pas espoir, un jour le prince viendra... Ah non, pardon, je me trompe! Celui-là, il est déjà venu, mais il a dû quitter son château pour cela, et la princesse aussi a quitté le sien, d'où le problème de logement...
Inscription à :
Articles (Atom)